Derrière les marécages nauséabonds et remplient de bestioles, se tien sur les ruines d’un vieux port une ville formée de conteneurs transformés en maisons de fortunes, si bien que l’on a surnommée cette ville « Conteneurs-sur-mer ». Au alentour, la ville n’est plus que ruine, ce Havre de paix n’est plus que l’ombre de lui même, aujourd’hui les marécages ont reprit possession des lieux et seul la petite ville de survivant subsiste, ainsi qu’un étrange paquebot échoué…


Les PNJ importants des lieux :

- Croyant convaincu, le chevalier Pondora est le chef de la mission Croisé envoyé dans les ruines du Havre. C’est un grand homme noir toujours habillé d’une armure assistée blanche et d’une cagoule qui lui recouvre le crâne. C’est un être au grand cœur qui n’hésite pas à aider son prochain et contrairement à beaucoup d’autre il ne fait jamais de prosélytisme, jamais vous ne le verrai essayer de convertir une païen au christianisme, Alain Pondora est l’un des Croisés les plus tolérants.

- Le chef bourgeois, Lionel De St Adresse, est le patron des ouvriers qui travaillent dans son usine. Il parle toujours d’une voix hautaine et mielleuse, et est constamment habillé d’un costume à carreaux rouges à liseré blanc. C’est un petit bourge péteux, méprisant, se croyant au dessus de tous les pèquenauds du village, du fait que lui, il vie dans le luxe. Mais même s’il est un patron dure, Monsieur De St Adresse peut aussi se montrer d’un grand cœur, par exemple, il sera toujours le premier à défendre n’importe lequel de ses employés contre des étrangers, ou bien il n’hésitera pas à déployer toutes ses ressources pour retrouver un villageois perdu dans les marais, car après tout, le village est sa seule famille, Monsieur De St Adresse est quelqu’un de très seul…
De part sa position hiérarchique et sa fortune, Monsieur De St Adresse se place tacitement comme le chef de Conteneur-sur-mer, d’ailleurs c’est à lui que répond la milice du village.

- la famille aristocrate, les Rufenacht, c’est une puissante famille du Havre qui s’est établi dans un paquebots en ruine. C’est Herbert qui a trouvé se bateau et y a fondé sa communauté. Aujourd’hui mort c’est Léonard qui a reprit le flambeau, et bientôt sont fils Léo, âgé de 18ans, pourra le reprendre à son tour.
Marié à Chantal Rufenacht, Léonard, dit « l’Amiral », dirige son navire d’une main de maître.
Mais il ne faut pas tout confondre, car en fait les Rufenacht ont la main mise sur une société autarcique et très fermée, ils n’ont aucun pouvoir sur Conteneur-sur-mer si ce n’est de le empêcher d’approcher le bateau.
La fille, surnommé « princesse » par tout le monde mais de son vrai nom Rose, est une petit blonde pourri gâté, une capricieuse castratrice.


Lieux

Les Marécages :

Avant de pénétré dans les ruines de la ville, un marécage l’entour de tous côtés.
Après la guerre les anciens marécages aux alentours du Havre ont reprit le pouvoir, commençant même à pénétrer dans les rues de la ville.
Très humide, sales, irradiés et hostile, les marécages est un endroit où peu d’humain aime aller, d’où le développement aisé de toutes sortes de bestioles mutantes, a commençait par les goules sauvages qui pullulent dans la boue.

Les rues en ruine du Havre :

La ville du Havre a pratiquement était rasée par les bombes pendant la grande guerre, peu de bâtiments sont restés debout. De plus les rues sont presque impraticable, les marées ont envahis tout l’espace, les arbres, les plantes et la boue ont tout recouvert, faisant de l’ancienne ville portuaire un endroit peu agréable pour l’espèce humaine.
Toute fois une mission de Croisés de l’Atome s’est établie dans l’un des rares bâtiments à être encore debout.

L’église St Joseph : Vieille église dans les ruines de la ville du Havre située près de la mer.
C’est l’un des seuls bâtiments à avoir réussi à vaincre non seulement la guerre mais aussi le marais triomphant.

Une mission des Croisés de l’Atome, commandée par le Chevalier Pondora, y a établi sa base, c’est d’ici qu’ils contrôlent toutes les opérations religieuses de la région hors de Paris.
Ils y ont installé leur ordinateur, couchette, et prie tout les jours devant l’autel de l’église.
Le cloché toujours érigé permet à son sommet de voir toute la ville dans son ensemble.
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Conteneurs-sur-Mer :

Conteneur-sur-mer est une petite ville construite sur les quais du vieux port du Havre en ruine, à la frontière avec le marais qui a colonisé le reste de la métropole d’avant guerre.
Le village est composé de divers conteneurs tous de différentes tailles et de couleurs, qui servent de maison ou plus exactement d’abris, aux habitants.
L’atmosphère des rues est toujours brumeuse, humide et froide. L’odeur de la marée et des algues entour les maisons. Les rues sont constamment vide et rare sont ceux qui se promènent dehors, le froid clos tout le monde chez eux.
Il arrive bien souvent que la pluie s’abatte sur le village, la cité est alors envahi par un bruit de goûte tombant fortement sur la taule, les habitants aiment ce bruit qui les détendent, les étranger eux pourrait devenir fou...

• Conteneur de la milice : Un conteneur dans le village est réservé à la milice, le service de sécurité de la ville. C’est plus des gros pleins de soupe fainéants que de véritables gardes ici, en même temps ils n’ont pas grand chose à faire à part tuer les goules aux abords du village, et M. De St Adresse les paye.
  Le conteneur dispose d’un petit bureau et d’un placard avec dedans un fusil de chasse à lunette que les miliciens utilisent pour chasser les goules. Le milieu du conteneur est séparé par une grille, faisant la prison du village, c’est ici qu’ils enferment (arbitrairement) ceux qui ne respectent pas leurs lois.
  
• La tanière d’Hubert Tamère : le bar le plus réputé de toute la côté ouest ! Enfin c’est le seul aussi. C’est ici que viennent tous les habitants blasés de la vie pour essayer d’oublier leurs problèmes en buvant, buvant et buvant.
  Un grand conteneur accoudé à un autre grand conteneur forment se bar miteux, sale et silencieux. Ici tout le monde déprime en groupe, et il faut dire que la décoration n’aide pas. Un comptoir fait avec une planche de bois posée sur des parpaings empilés, avec dessus plusieurs bouteilles vides et des cendriers remplies de mégots. Devant des parpaings eux aussi empilés forment des espèces de tabourets inconfortables.
  C’est en s’avançant un peu dans le lieux qu’on découvre une première table avec des chaises en plastiques noircies en très mauvaises états, là il manque un pied, là il manque un accoudoir, là plus embêtant il manque deux pieds…
  Le barman quant à lui, Hubert, est un gros être chauve, avec de grosses moustaches noires et touffues, toujours en salopette bleu avec une chemise rouge à carreau ouverte sur le torse velu. Constamment il dégouline de sueur, il faut dire aussi que le bar est toujours emprunt d’une chaleur humide et étouffante, du notamment aux lampes à pétrole accrochées aux parois qui donnent un effet condensateur au bar.
  
• La clinique des conteneurs : Tenu par une certaine Laurence Dumerne, une goule aux allures patibulaires mais presque, ce conteneur est la clinique de fortune des habitants. L’endroit pu la mort, non seulement à cause de la présence de la goule, mais aussi à cause de ce qui se passe régulièrement ici. Laurence est à vrai dire maçon de formation, mais il est vrai que médecin paye mieux, du coup elle n’es pas super doué avec les scalpels donc… euh… attention à vous.
  Le conteneur dispose d’un terminal regroupant les fiches médicales des patients, d’un lit de médecin ainsi que, oh ! summum de la technologie ! un robot médicale en parti cassé.
  Une des particularités de Laurence c’est qu’elle n’accepte pas les francs, chez elle on troc, à elle de juger le prix de votre blessure.
  
• La Villa Conteneur : Assez paradoxalement, ce conteneur, que l’on trouve plus éloigné des autres, est considéré par les habitants comme une villa, une maison de luxe. Ce fait est surtout du au propriétaire de se conteneur qui n’est autre que Monsieur Lionel De St Vincent, le bourgeois patron des ouvriers. C’est en fait plusieurs conteneurs empilés et rassemblés, qui forment cette « maison ». L’intérieur est toute fois assez luxueux, en tout cas si l’on compare au reste des maisons du village.
  

Le France II :

Devant le village minimaliste se tien une splendeur d’avant guerre, un immense paquebot en ruine. Sur sa coque il est très clairement inscrit : « FRANCE II »
Séparé du quai et de Conteneur-sur-mer par une simple passerelle, ce paquebot n’en reste pas moins un véritable gouffre entre les deux endroits. Le France II est aux riches ce que Conteneur-sur-mer est aux pauvres.
Il a été prit depuis longtemps, par une riche famille qui en a fait son fief. Avec le temps une véritable société aristocrate complètement à part s’est crée.

A l’intérieur tout est beau. Bien sur on ressent le temps écoulé et surtout le passage de la guerre qui ont marqué les lieux, mais contrairement à beaucoup d’autres endroits, l’ensemble semble plutôt propre.
Des lumières éclairent les couloirs revêtus d’une tapisserie rouge aux liserés marron, jusqu'à un grand escalier qui descend sur une grande salle.
En fait, la majorité du bateau n’est pas occupé, et seul une petite partie a été restaurée par la famille Rufenacht.

• La grande Salle : En descendant de grands escaliers de bois qui a plutôt mal vieilli, on arrive dans ce que les gens appelles « la grande salle ». C’est une immense salle de restaurant qui sert aujourd’hui de salle de réception ou de lieu de rencontre à l’intérieur du bateau, cette endroit est toujours bourré de monde. La pièce est recouverte d’un parquet lustré et de murs verts avec des rideaux blancs qui tombent le long de ces derniers. En sont centre des tables, des chaises, des canapés en cercle aussi, et surtout une petite scène dans le coin gauche où parfois des musiciens viennent jouer des musiques d’avant guerre.
  C’est aussi ici que les aristocrates du bateau se restaure, allez donc au bar commander un verre au près du Handy nommé Ecume.
  
• Les cabines : Mise en place par la famille Rufenacht pour « leur » peuple. Les cabines sont occupées par les habitants du paquebot. C’est un peu l’objet convoité par tous, le summum du luxe ici, tout le monde rêve d’avoir sa chambre sur le France II.
  Pourtant les cabines sont rarement bien grande, autrefois un paquebot de luxe, la famille a stratégiquement restaurées les chambres les plus petites, voulant sûrement calmer les ardeurs de grandeurs des occupants qui pourraient leur faire de l’ombre. Du fait, les cabines sont simples, joliment décorées de parures rouges ou bordeaux, de tapisseries parfois jaunes ou vertes, accompagné de grands lits et de meubles certes luxueux, mais rendant la pièce étroite. A l’intérieur les passagers se trouvent petit, presque écrasé, exactement comme ils sont devant les Rufenacht.
  
• La chambre des Rufenacht : La chambre la plus luxueuse du paquebot. Entièrement rénovée, la pièce semble tout droit sortie de l’époque d’après guerre. C’est la chambre du couple Rufenacht -les enfants étant logés dans d’autres chambres tout aussi luxueuse.
  Décorée de parure en tous genres, la chambre est envoûtante de beauté, quand on y entre c’est à peine si l’on écoute sont interlocuteur tellement nos yeux se retrouvent émerveillés.
  Enfin, il faut aussi faire abstraction des traces d’après guerres, fissures et autres tuyaux sortant du plafond par exemple, mais pour l’époque cette pièce est tout ce qu’il y a de plus luxueux.
  Un bureau trône au milieu de la pièce, sur chaque côté des marches qui montent sur un deuxième étage ouvert, où se trouve le lit du couple Rufenacht.