Statut/métier : Membre du Gang de Jupiter / Bricoleur / émissaire
Faction : Psychotique
Karma de départ : 130
SPECIAL :

Compétence	Strength	Perception	Endurance	Charisma	Intelligence	Agility	Luck
Valeur	6	5	4	7	7	6	5

Philippe est un homme ayant l'air d'avoir la quarantaine, assez grand avec ses épaules larges ce qui lui donne une carrure carré. Son air sympathique, ses expressions et sa gestuel en fond quelqu'un qui attire l'attention et qui force le contact. Cette vertu est un atout que le gang exploite pour des missions de négociation de matériel et-en de rare cas comme émissaire.

Lorsqu'il marche, le haut de son corps par légèrement vers l'avant, les pieds proches l'un de l'autre. Dès qu'il se redresse et qu'il ne bouge plus, ses pieds sont éloignés l'un de l'autre et ses bras sont soit dans ses poches ou alors croisé.

Son visage est assez étiré sur la longueur, balafré de deux cicatrices sur ça joue gauche partant de la mâchoire jusqu'à sa chevelure, il comporte aussi des rides plus ou moins marqué au niveau de la bouche ainsi que de très légère au front. Il a un nez aquilin, des yeux bleus, une barbe de quelques centimètres de longueur et des cheveux châtains épais coiffé en arrière.

Son corps a quand lui est légèrement musclés, on peut discerner ses abdominaux ressortant un peu, ses biceps sont un peu gros de même pour ses jambes. Il a de grandes mains et de grands pieds. Balafré sur de nombreuses parties de son corps, avec des cicatrices variant de taille et d'importance.





Philippe est un être amicale, patient et prudent, il aime le contact avec les gens et voue souvent sa loyauté aux personnes avec qui il est proche, mais avec comme seul contre partie que c'est même personne en fasse tous autant avec lui. Particulièrement fier et têtu, il n'aime pas abandonner et surtout ne pas tenir ses promesses.

Son arrivée à Paris il y a 12 ans, lui permis de rejoindre un petit groupuscule d'anarchiste croyant à des principes d'égalité et de liberté dans lequel il se retrouva et adhéra. Bien qu'il fût durant une grande partie de sa vie quelqu'un de pacifiste qui n'avait pas eu à lever une arme pour autre chose que les situations extrêmes ou pour survivre dans les terres dévastés, il se radicalisa il y a quelques années en voyant que rien ne bouger. Malgré son idéalisme et le fait qu'il soit têtu, il prend souvent du recul sur les événements, sur ses choix passé et sur ses idées lorsqu'il est au calme.

Il accorde toute sa confiance et sa loyauté dans le gang de Jupiter qu'il considère comme sa famille grâce au système mis en place dans le gang qui correspond à son idéal, a l'ambiance qui y règne et de son intégration. Il considère la FNF comme un Etat ne laissant plus aucune voie ni au peuple ni au médias à cause des nombreuses lois bridant complètement la liberté d'expression seulement pour avoir une illusion de sécurité celons lui bien qu'il y ait encore moult raison qu'il soit AntiFNF. Quant à l'empire, il est plutôt méfiant à son égard pour l'instant ne connaissant pas grand-choses à son égard même s'il sûre que le gang sera contre l'empire.

Son sens de l'humour est tourné vers l'ironie ou même dans la pire situation il ne peut s'empêcher de sortir une blague concernant le moment. Dans le fond c'est quelqu'un de pas mauvais, mais dès que qu'il a un but sa détermination devient une de ses plus grandes force comme ça plus grande faiblesse.





Le soleil se couchait sur les ruines de Paris tandis qu'un petit groupe d'au moins huit personnes marcher dans les ruelles mortes et désolées d'un quartier de la capitale ou plus aucune âme ne vivait depuis longtemps dans les immeubles délabré qui les entouraient. Ce petit groupe s'introduit dans l'un d'entre eux pour pauser leur campement durant la nuit.

Déposant leurs affaires et s'installant dans ce qu'il restait d'un des appartements du second étage, ils mirent au centre de la pièce leurs affaires et une imposante caisse de métal. L'un des hommes, Philippe, fixa cette caisse alors assis sur sa palliasse de fortune, l'air légèrement troubler en fixant cette caisse il se mit à penser .

« Quels ironie, 20 ans plus tard et je me retrouve presque dans la même situation ... sauf que cette fois-ci elle n'est pas désespérée !»

Se dit l'homme soupirant en fixant cette caisse, remplis de médicaments de toutes sortent qu'on leur avait demandé d'aller chercher à cause de la forte diminution des stocks. Il tournis sa tête vers la gauche voyant son reflet dans un éclat de miroir pour ensuite directement diriger de nouveau son regard vers la caisse. Il commença alors à se remémorer ses 35 dernières années.

« Qui c'est ce qui se serait passé si à l'année de mes 15 ans se fléaux ne s'était pas abattu, en y repensant j'avais eu une vie que la majorité des personnes des terres dévastés envierez : vivant au sein d'une communauté d'une cinquantaine de personnes vivant reclus et ou la civilisation n'est pas présente à des kilomètres à la ronde dans le nord de la France ; une enfance paisible sans trop de soucis ou les adultes prenaient le temps de nous éduquer, de transmettre leurs savoirs . »

Il baissa son regard vers ses mains où il tenait son arme de poing qui a première vu semble customisée, le fixant il commença a le démonter pour commencer son entretien avant de replonger une nouvelle fois dans ses pensées .

«En parlant de transmettre leurs savoirs, l'apprentissage que ma fournit le vieux Henry sur le bricolage ainsi que les missions de reconnaissance des alentour m'aurons bien servi après. Vu le peu de monde qu'on était, isolé de tous ont commencé la vie dans la communauté tôt, à partir de huit ans chaque enfant posséder plusieurs tâches, moi j'avais été pris dans la reconnaissance ou notre boulot consister a repéré les endroits pour chasser ainsi que les éventuels dangers tandis que le bricolage consister à réparer, modifier des objets d'avant guerre et des armes ... »

A peine après avoir fini de nettoyer chaque composant de son arme, il se mit à la remonter doucement et lentement.

« ... Ensuite jusqu'à mes 13 ans je menai une petite routine où je m'amusais lors de mon temps libre tendis que le reste du temps soit je partais en reconnaissance ou alors je bricolais en entendent le vieil homme me dire que maintenant il n'étais plus que bon qu'à être un assistant et que désormais j'étais plus doué que lui. C'est à mes 13 ans que mon train de vie fût un peu chambouler lorsque l'une des équipes de reconnaissance à parler des rumeurs concernant une bande de négrier venu de l'ouest qui venait dans la région pour enlever des gens et en faire de la marchandise. Après cela on resta définitivement bloquer, désormais tout le monde était initié à maniait une arme alors qu'auparavant seul les chasseurs et les gardiens avaient cette formation . »

Il exclama un léger rire tout en secouant la tête de gauche à droite

« On a fini par devenir paranoïaque, nos excursions vers ville habitées avaient été complètement arrêté de peur d'être attaqué sans jamais voir une seule fois c'est fameux négrier. Durant deux ans on est resté enfermer avec la peur du monde extérieur et isolement était sujet de discorde et de tension au sein de la communauté. »

Il venait de finir de monter son arme il ne restait plus que le chargeur, mais il releva de nouveau son regard vers la caisse. Philippe commença à mordre sa lèvre inférieure et fit une grimace d'un air nerveux. Il rebaissa son regard vers son pistolet et comme pour lui donner du courage, il remit violemment le chargeur dans l'arme poussa un soupir avant de repartir dans ses pensées.

« Et vint l'année de mes 15 ans, notre isolement et notre paranoïa à causer la perte de la communauté : un jour les chasseurs sont tombés malades, ils avaient attrapé une maladie contagieuse lors de leurs chassent et l'on transmit a tout le monde. Un vent de panique et de zizanie submergea le camp. Tous les membres des équipes de reconnaissance encore en bon état ce son divisé, mais la réaction c'est fait deux semaines après, plus grand monde n'était apte à partir surtout que la ville la plus proche ce situai a trois jours de marches. Encore dans un état convenable, j'ai accompagné quatre compagnons pour trouver les médicaments décrient par notre médecin ... Malheureusement se fût un désastre : des notre 1er demi-journée on a perdu trois membres dont deux ou leurs états c'est aggravé au point de ne plus nous accompagner et un qui les ramena. »

Tenant fermement son pistolet dans la paume de ses mains, il le rangea dans son étuis et mis ses mains sur son visage .

«Avec mon dernier compagnon d'infortune on continua notre route, mais la fatigue et la fièvre nous firent peu à peu perdre notre orientation, je ne sais pas combien de jours on a divagué, mais ça m'a semblé être une éternité et ni moi ni lui ne voulions dormir de peur d'être encore plus faible et de ne plus pouvoir ensuite continuais notre route. Finalement mon camarade reconnu la fameuse ville où on devait aller au loin, mais a mis chemin la maladie et la fatigue ont eu raison de nous, malgré notre détermination mon corps et le sien n'avait plus la force d'avancer. Mon ami perdit toute force et s'écroula à terre. Je le portai sur 100 mètres avant qu'à mon tour je m'écroule et m'évanouisse. »

Il enleva les mains de son visage regarda de nouveaux cette caisse avant d'affaler son dos sur le mur derrière lui et regarder le plafond.

« Lorsque j'ai repris conscience, j'étais dans un lit, apparemment un caravanier qui passait par la m'avais transporté seulement moi jusque chez un médecin ... Aujourd'hui encore je suis partagé sur le pourquoi il ne l'a pas pris avec moi et s'il a survécu, en tout cas il m'aura fallu quatre semaines pour être de nouveau sur pied et mes inquiétudes au sujet de la communauté me tracassé terriblement, espèrent malgré tout que toutes les autres équipes soient revenue à temps mais ... »

Philippe sera de toutes ses forces ses mains devant la douleur de se remémorer le choque de ses souvenirs, progressivement il se détendit et son visage ne montrait plus aucune expression et son regard vide .

« ... personne ... personne à mon retour n'avait survécu, même sur la route j'ai croisé les cadavres de personnes que j'avais toujours considéré comme ma famille ... Pour moi la douleur était trop vive, j'ai brulé les dépouille et je suis partis loin de mon ancien foyer. Pendant huit ans, je vécus ma vis comme j'ai pu, vagabondant sans réel but à part ma survie, j'exécutais quelque petit boulot et mes talents de bricoleur contre de la nourriture et de rare occasion des livres pour me distraire. J'ai voyagé dans presque tout le nord de la France, essayant d'oublier le passé et voir de l'avant. La misère qui régnait dans les nombreux endroits où j'ai fait escale m'a permis de relativiser et mon rendu plus prudent, mais cette vie de vagabond solitaire errant sans but n'allait pas pour moi et me rendais malade d'ailleurs aujourd'hui je me rends compte que j'aurais du me poser beaucoup plus tôt que ça même si cette épreuve m'a endurcis en me rendant plus prudent à cause des dangers, patient et téméraire aussi à cause du manque de population dans certaine régions que j'avais visité m'obligeant à survivre par mes propres moyens. J'avais donc décidé de partir sur de nouvelle base et sur une nouvelle vie en partant pour la ville en ruine qui fût durant longtemps le symbole culturel de la France d'avant guerre ... »

Il se leva de sa paillasse, enjambant ses compagnons qui se reposaient et se dirigea vers le balcon ou l'un de ses camarades faisait le gaie, en regardant le paysage délabrer le mot « Paris » résonna dans sa tête, Philippe entreprit une petite conversation avec son ami montent la garde avant de replonger dans ses pensées .

« Aaaah Paris ... malgré la désolation et la destruction qui y règne, j'avais enfin l'impression de revivre, mais ma renaissance commença vraiment au moment où j'ai rencontré Gabriel ... »

En repensant à cette personne, le visage de Philippe dessina un grand sourire.

« Pff Gabriel, Gabriel, Gabriel ... ma première rencontre avec cette ivrogne me parut presque surréaliste, bon en même temps quand une goule anarchiste torse nu accompagner de plusieurs radcaniches se faisait poursuivre par un duo de goulophobe ...quand on n'a pas l'habitude sa laisse sans voie même si au final j'ai pris partis pour lui en sauvent sa peau ou du moins ce qu'il en restais. Après cela il m'a demandé de rejoindre sa bande, avec de l'hésitation au départ je l'ai finalement rejoint lui et son groupe même si à ce moment-là je n'avais pas tout compris de ce qui venait de se passer. »

Il hocha la tête de gauche à droite avant de reprendre un sourire moins voyant.

«Au final notre petit groupe n'étais pas bien méchant, on était seulement quelques paumés qui déliraient et rigolé en croyant naïvement en un idéal sans se soulever pour l'atteindre. On vivait de la prospection et de petits boulots tandis que le week end généralement est en partis consacré à s'amuser et à déconnais. Il me semble que c'est en 47, je devais avoir 25 ans qu'on avait rafistolés un vieux centre d'enregistrement radio et pas sans mal vue dans l'état qu'on l'avait trouvé ... Avec ça on passait notre temps à diffuser des émissions radiophoniques ou ont passé notre temps à moquer ouvertement de la FNF et des Croisés, peu de personnes écouter et en plus on avait l'air d'illuminer camer vu comment on parlait, apparemment seul notre émission parodique un peu perché avait du succès. C'est au moment où il y a eu l'attentat dans le village de la porte qu'on a quitté notre petit monde et qu'on c'était enfin décidé de se bouger. Au final ça n'a mené pas mené a de grandes choses : trois ou quatre qui nous on rejoint ; la plupart des personnes nous prenaient pour des illuminé ... Au final un mois avant la destruction de Notre Dame, notre petit groupuscule c'était séparé en grande partie à cause de nos discorde sur notre manière de faire qui avait toujours été de nature pacifiste. Après cet événement, je me suis remis en question et j'ai pris du recul sur les événements, cette période m'aura permis de tourner la page de mon passer et de trouver un but à ma vie, pour ce faire d'une certaine manière je me suis extrémiste pensant que ce monde ne pouvait changer pacifiquement mais qu'il fallait se battre pour y arriver . »

Il retourna vers sa paillasse, regardant tous ses compagnons entrains de dormir une fois assis dessus .

« Alors que je m'étais installé à Metropolitopia en vendant mes services de bricoleur, j'entendis parler d'une rumeur concernant un gang de psychotique qui avait changé de direction en 54, la description de leurs revendications, de l'idéologie qui les ralliés m'attiras, je l'ai est donc rejoint et encore aujourd'hui je ne regrette pas cette vie là, d'ailleurs elle me rappelle beaucoup la communauté où j'ai grandi. Durant les premiers mois j'ai mis mes services de bricoleur à la disposition et je m'investissais lors des raides. Après ma première année, mon contact facile avec les gens me fit intégrer des missions de négociation de matériel et d'émissaire pour le compte du gang en grande partie à cause de la méfiance a notre égard, lorsque l'on catégorisé psychotique il est assez difficile de négocier avec quelqu'un, le plus souvent j'arrive à déclencher la conversation même si la personne sait que je fais partis du gang de Jupiter même s'il arrive encore souvent que la méfiance et la haine ne change rien. »

Il dirigea son regard une dernière fois sur la caisse avec un air déterminé avant de s'affaler, regardant le plafond, il se mit à penser une dernière fois avant d'être emporté par le sommeil .

« ... Cette fois-ci je ne laisserai rien emporté ce qui est maintenant ma famille. Jupiter a l'air confiant pour l'avenir, il pense qu'une vraie résistance pourras se lever contre la FNF dans peu de temps. Il faut dire que les événements récent n'ont fait que rendre la situation que plus tendu qu'il n'était. J'ai confiance moi aussi même si l'arriver il y a peu de cet empire venu du centre de France me préoccupe, pour l'instant il est encore trop tôt pour ce faire un avis sur leurs sujets seuls le temps et leurs actions nous dirons si on a affaire à des personnes avec qui nous pouvons traiter ou si on a affaire à un nouvel adversaire, mais de toute façon l'heure approche ... l'heure du Soulèvement ... »

Sur cette dernière pensée, il finit par s'endormir après tout une longue journée de marche pour rejoindre le reste du gang l'attendait le lendemain ...




HRP


Ancien(S) ou autre (S) compte(S) : Aucun

Comment ai-je découvert le forum : Il y a longtemps sur le forum Fallout New Vegas de jeuxvideo.com, après sa fait un moment que je lis le forum sans y participer



PS : Soyez indulgent sur mes fautes d’orthographe et de grammaire, j’ai pas mal de problème a se niveau la, malgré plusieurs relecture je suis presque sur qui reste beaucoup de fautes
Edit: Voilà j'ai corrigé la plupart des fautes

Tout d'abord BIENVENUE à toi, admirateur de longue date.

Je troue ta fiche intéressante, tes descriptions sont complètes et bien détaillées et ta biographie est plutôt captivante. Donc plus de soucis de ce côté là.
Mais comme tu l'as souligné, le seul problème reste les fautes d'orthographe. C'est le seul point noir (je te remercie de nous avoir prévenus d'ailleurs ^^).
Tu peux utiliser des logiciels de correction si tu le souhaite: Bonpatron, Word (plutôt efficace)
Il faudra juste que tu rédiges ton inventaire, ta signature et ton journal de bord (si tu le souhaite) et ce sera bon ^^
Essaie juste une dernière tentative mais sinon, pour moi ta fiche est validable.

D'accord je vais essayer Bonpatron (j'ai déjà utilisé Word pour faire cette fiche, cela a sauvé pas mal de meuble)
Je réactualiserais ma fiche tous à l'heure.

Salut, pour moi c'est bon aussi.
Si tu veux on a (avait) un service de parrain (aide à la relecture) pour aider ceux qui avait des problèmes au rp.
Pour les fautes, on peut relire (voir repasser par dessus grâce à nos supers pouvoirs) pour t'aider à la correction de tes fautes.
Faut juste que tu donne ton accord.

Je ne sais pas trop, je n'ai pas envie d'abuser de la patience des MJ (après tous vous venez ici pour vous amuser, pas pour corriger les fautes de quelqu'un)

Si ça ne dérange pas je veux bien essayer dans un premier temps, après ça j'essaierais de me débrouiller. Merci de me l'avoir proposé

Pas des MJs mais de nos supers pouvoirs de modérateurs (même si on demandera pas à Romain de le faire )

Hé bien pour moi tout cela semble très bien.
Pour ma part, c'est validable. J'attends juste l'avis d'un autre membre du staff.

Je parle pas des fautes ça je m'en occuperai Martin. Je parle de tout le reste.

Pour tout le rete c'est parfait!
Ça fait plaisir de voir une aussi bonne fiche

Comme tu l'a précisé, ya des erreurs certes, beaucoup même, mais franchement, t'as compris l'univers, t'a l'air motivé et renseigné, moi ça me suffit, l'orthographe est secondaire.

Ok pour moi!

Parfait je valide
*coup de tampon*

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Voilà, bon jeu.
Et si tu n'as rien à faire n'oublie pas les [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]