| Oui SPECIAL : | S | P | E | C | I | A | L | | X | X | X | X | X | X | X |
 Sujet: Description des Lieux. La Défense.  Mar 25 Mai - 12:51 [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] La Terre Promise des Terres Désolées Considéré par beaucoup comme une véritable Terre Promise, l’ancien quartier de la Défense s’est renommé à présent le « Nouveau Paris ». Beaucoup de légendes parcourent les terres désolées sur cette ville ultra fermée au monde extérieur, certaines disent que cette ville serait un nouveau jardin d’Eden, un Yggdrasil en puissance.
En effet, le « Nouveau Paris », fondé par la FNF, vie uniquement en autarcie et n’accepte que très rarement l’entré d’étranger sur son territoire, la ville est donc entourée d’une Aura très mystérieuse…
Des Terres désolées, seules les énormes barricades de taules peuvent être aperçu, la ville est entièrement hermétique à la vue extérieure.Les PNJ importants des lieux : - Le général de l’avant post de la FNF, Hector Madof. L’un des plus grand généraux de la FNF, il est connu par tous les soldats, notamment grâce à ses nombreux exploits dans sa jeunesse. Aujourd’hui il n’est plus qu’un vieux officier, mais un vieux officier charismatique !
Du haut de son mètre 80, Madof, crâne chauve et petite moustache au dessus des lèvres, dirige l’avant post de la FNF d’une main de maître.
Aujourd’hui il ne fait plus que diriger, mais sa grande cicatrice, partant de sa lèvre et remontant jusqu’au front en passant par l’œil droit, ainsi que ses nombreuses médailles plantaient sur son pectoraux gauche, son là pour rappeler ce qu’il était autrefois : le second du Général Lucien, le second plus grand soldat de la FNF, le second héros de la France.
- Le préfet du Nouveau Paris, Gabriel Giroflé, dit « GG ». GG, comme on l’appel dans les rangs de la FNF, est un grand homme maigre et sec, au cheveux inexistant et aux lunettes rondes. Il n’est pas très aimé par les soldats, et pour cause, c’est un politicien. Nommé par Jean-Eude Hénin, notre cher président, préfet du Nouveau Paris, il est chargé par celui ci de commander à la nouvelle métropole ainsi que de surveiller les agissements des troupes dans les terres désolées. Lieux
L’avant post de la FNFConstruit dans un ancien hypermarché totalement refait avec soin par la FNF. Celui qui pénètre dans cet endroit sans connaître son origine ne pourrai deviner qu’il se trouve dans un ancien hypermarché d’avant-guerre.
A l’entrée, gardée par deux soldats en armes, vous trouverez l’accueil. Si vous ne fait pas parti du service il est strictement interdit de pénétrer au sein de la base, vous devez préalablement vous identifier et obtenir une autorisation à l’accueil.
C’est seulement ensuite que vous pourrez traverser les deux grosses portes métalliques qui cache le reste de la base aux inconnus.
L’endroit est très sombre et sale. Bien qu’entièrement réaménagé, il garde son atmosphère post-apocalyptique avec entre autres des murs défoncés, un sol déformé et un plafond manquant de s’effondrer. Quelques lampes éclairement pauvrement les couloirs sombres qui mène sur des dizaines de porte, ainsi qu’a un escalier menant aux sous-sols de l’ancien Hypermarché- [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] C’est une grande salle, décorée d’un grand drapeau français sur le mur du fond. Ici, sur les chaises moisies, devant la grande table en bois, se place tous les jours le gratin du gratin de la FNF posté sur Paris. Ils y débattent des missions, et briefe les soldats concernés par celle ci.
Un rétroprojecteur est placé sur la table, devant une grande toile blanche. Bien souvent des diapositives son utilisé pour illustré les opérations.
- Le bureau de Madof :L’une des plus grandes pièces après la salle de réunions, Madof est dans un luxe extrême, enfin pour un soldat évidemment. Une grand bureau en bois séjourne au centre de la pièce, des plantes et un grand aquarium (sans aucun poisson à l’intérieur) décors l’endroit. Le sol est recouvert d’un grand tapi d’avant-guerre encore en assez bonne état. Un Grand drapeau Français et une photo de Jean-Eude Hénin sont accroché sur le mur du fond.
La chambre de Madof se trouve derrière un porte que l’on prend dans son bureau. Il dispose d’une chambre luxueuse aussi, ainsi que de véritable sanitaire pour lui seul.
- Les dortoirs :Les soldats sont tous parquet dans de petites chambres de 5 personnes maximum. Par manque de place il est souvent possible d’en voir 7 ou 8 dans la même chambre. Elles sont très minime, des lits (superposés lorsque c’est possible), un bureau avec une chaise devant, et bien sur, un grand drapeau Français trônant sur les murs de toutes les chambres. Ainsi est la vie de soldat de la FNF…
Par contre celle d’officier est tout autre, grande chambre, lit de deux places, un grand bureau et parfois même, des sanitaires individuelle ! Bref, la belle vie comme dirait n’importe quels soldats.
- L’armurerie : Dans une salle bien gardé et protégé de l’extérieure sont entreposé tout l’armement de la FNF.
Cette salle est protégé par une grosse porte blindée dont seule l’intendance de la FNF dispose des clefs. Pour obtenir une arme, il faut tout d’abord en faire la demande au près de l’intendance, ou bien avoir une autorisation d’un officier qualifié. (Colonel ou Général minimum)
Stock de la FNF :
- Spoiler:
- [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]- [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]- [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]- [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (peu en stock) - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (peu en stock) - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
- Le hangar : Pas loin du grand Hypermarché servant de base à la FNF postée à Paris, se trouve un grand hangar, fait de taules rouillées et de plaques de métal de tout genre, soudés ensemble.
Dans ce grand hangar, protégé par des dizaines de soldats en armes, se trouve entreposé les véhicules de l’armée ainsi que du carburants trouvés par la FNF.
Véhicules de la FNF :
- Spoiler:
à venir
Quartier d’habitationsA l’intérieur de la Défense, derrière les grosses barricades, on y trouve un petit village de survivant.
Aidé par la FNF, les habitants ont prêtés allégement à la République française contre la protection de l’armée. Ainsi les militaires ont fait de la Défense une place forte des terres désolées.
On pourrait peut être dire que le « Nouveau Paris », comme ils aiment le dire, est la dernière ville civilisée de France.
La FNF, avec une centaine de survivant sortant de différents abris, a réussi à reconstruire une partie de la Défense, quelques immeubles, quelques petits bâtiments…
Ainsi les habitants du Nouveau Paris ont la chance et le confort de vivrent dans de vrais appartements, avec eaux courantes, grâce à une puce d’eau et un générateur, ainsi qu’électricité, grâce à plusieurs batteries de la FNF et à de vieux panneaux solaires de fortune. Malgré ça les appartements gardent toujours quelques stigmates de la guerre nucléaire.
Mais tous cela a un prix. Chaque citoyen du Nouveau Paris se doit de payer le « gouvernement » français, non pas en simples impôts comme autrefois, mais en unité de travail. C’est à dire qu’ils travaillent pour la FNF sans aucun salaire en retour. Cela peut être considérer comme de l’esclavage moderne, mais personne à la Défense ne s’en plein…
Le Nouveau Paris est donc une ville où il fait bon vivre, même si l’ambiance peut paraître étroite, et qu’il faut vivre pour travailler et non travailler pour vivre.
- Préfecture du Nouveau Paris : Dans le rez-de-chaussée d’un des immeubles en ruine, s’est construit la préfecture du Nouveau-Paris. L’endroit est le seule véritable bâtiment administratif de la ville, c’est pour cela qu’il est très luxueux, il se devait d’être présentable pour les citoyens.
Pour toute réclamation, c’est ici que vous devez aller.
- Café Piccouly : Un petit café typiquement parisien d’avant guerre. Il a été reconstruit dans les ruines d’un ancien fast-food. Le décor a été fait par Diego, le propriétaire. Fan du XXéme siècle, il a entièrement recomposé l’environnement de son café sur ce thème. On se croirait alors revenu à l’époque de l’avant guerre, mais tout de même, quelques éléments nous rappel à notre souvenir que nous somme dans une époque post-apocalyptique…
Diego est un grand être, assez jeune, la peau matte et la moustache touffu et noire au dessus des lèvres. Il est assez drôle et est toujours très serviable avec les clients.
Quartier MarchandsLe « Nouveau-Paris » étant une ville en autarcie, tout se vend et se revend dans les divers magasins du « quartier d’affaire ».
Ici, dans les ruines des anciens QG des plus grandes firmes de France, ce sont reconstruis de véritables entreprises. Mais malheureusement leurs capacités restent très minime, ne disposant pas de ressources ou d’énergie nécessaire, pour l’instant les entreprises ne fonctionnent réellement que dans le Nouveau-Paris - La droguerie de Monsieur Philibert [divers objets] :
Dans les ruines de la tour Vault-Tec France, s’est construit au rez-de-chaussée une immense droguerie dont M. Philibert est propriétaire.
Bien que l’on se sente revenu dans l’avant guerre, le lieu garde toujours les stigmates de la chute des bombes. Les murs sont craquelés, le plafond manque de s’effondrer… etc. La moquette rouge mal posée ne peut cacher toute la misère de la boutique.
Les objets à la vente sont disposés sur tout le rez-de-chaussée du bâtiment, les escaliers s’entant effondrés depuis longtemps tout comme les ascenseurs tombés en panne. Le chef du lieu s’est donc installé sur le grand bureau qui servait autrefois à l’accueille, pour y mettre sa caisse.
Richard Philibert est un petit homme trapu, portant une costume d’avant guerre plutôt propre, ainsi que de petites lunettes ronde à l’apparence lourde. Ses grosses joues sont imberbes, contrairement à sa lippe recouverte de poils blanc grisâtre. Il peu se montrer amical comme très ronchon, sont principal défaut étant qu’il est lunatique, on ne sait jamais comment il va nous accueillir.
- La clinique de Marie-Chantal De Prozac :
C’est dans une vieille pharmacie que la propriétaire a décidée d’y fonder la première clinique du Nouveau-Paris.
Pratiquement en ruine, la pharmacie a été retapée un minimum pour donner une pseudo impression de propreté aux patients. La vitrine, évidemment brisées par les ondes des bombes atomiques, est aujourd’hui remplacée par des bâches collé aux murs par de gros morceau de scotch, ainsi la lumière ne pénètre que très peu dans la pièce, et l’endroit est très sombre, éclairé seulement par des lumières clignotante de salubrités.
Par chance, les décorations pharmaceutiques de la façade ont pus être rallumées, montrant le dessein du lieu et donnant ainsi un léger sentiment de sérieux.
Lorsque Marie-Chantal, jeune habitante des terres désolées, arriva pour la première fois dans l’ancienne pharmacie, celle ci tomba sur une boîte de prozac. Ainsi, et n’ayant pas de nom de famille, elle décida de s’appeler De Prozac. Mais cela remonte à pas mal d’année désormais. Aujourd’hui, mademoiselle De Prozac est une vieille Dame aux cheveux gris, aux traits creusés, et à l’os fragile. Elle n’est plus que l’ombre de la médecin douée qu’elle pouvait être autrefois, aujourd’hui ce n’est plus qu’une sénile méchante et rancunière mais… c’est la seule médecin civil du Nouveau-Paris…
  | |
| |
Accueil
Rechercher
Dernières images
S'enregistrer
Connexion
