Fallout Rédemption


-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

Partagez
Papy MJ
Papy MJ
SPECIAL :
S P E C I A L
X X X X X X X
MessageSujet: Description des lieux Description des lieux I_icon_minitimeLun 8 Nov - 13:04
La Gare de Lyon, nouveau Marché de Paris.


Si le chaos s’est étendu sur Paris et le monde, certains n’ont pas perdu le nord. Des caravanes continuent à sillonner le monde, vendant leurs biens à travers le désert et les cités en ruines. Dans les restes de la ville lumière, ces caravanes se sont basées dans les ruines d’une des plus grandes gares de Paris ; la Gare de Lyon, que certains ont renommé le Marché de la Gare.
Ces lieux cosmopolites abritent des voyageurs de toutes les ethnies, de nombreuses nationalités et où n’importe quoi peut être acheté. Tout le marché fonctionne sur un système très élaboré qui pourrait être appelé le «tiens-moi j’te tiens». En gros, chaque quai est inutile mais indispensable au reste du marché.
Mais c’est également le meilleur endroit pour prendre le train... Grâce à la volonté d’un vieil homme étrange.

Le Marché de la Gare est organisé en quais, chacun ayant son propre leader, langage, ou encore marchandise. On compte quais :
  • Le quai gitan, où l’on fait commerce d’armes et de vêtements en tous genres.
  • Le quai chinois, où vous trouverez du matériel technologique à bas prix... Mais pas sûr qu’il marche.
  • Le quai slave, le meilleur endroit des Terres Désolées pour vous bourrer la gueule... Ou acheter de l’eau.
  • Le quai arabe, meilleur souk de tout Paris ; il n’y a pas meilleur endroit pour acheter de la camelote ou de la nourriture en tous genres.
  • Le quai juif, ou le quai des personnes proches de leurs sous. Si vous avez des trucs à déposer dans l'un des nombreux casiers, venez donc y faire un tour.
  • Le quai du vieux cheminot, Emile, où vous pouvez prendre le train pour quitter Paris.



Le Quai de la FNF :

Non on ne trouve rien à acheter ici, ce quai est un commissariat de la FNF qui à présent surveille les marchands et taxe les produits. Une troupe d'une vingtaine d'homme siège en permanence ici, protégeant le marché.

Le Quai Gitan :

Le quai gitan est l’endroit le plus bruyant du Marché de la Gare, après le quai arabe. C’est un bazar incroyable, et pour acheter quelque chose, il vous faudra slalomer entre les caravanes, tentes et campements de fortune. Les gitans sont souvent vêtus de tissus chamarrés rouges, orange ou jaune. Nombre d'entre eux arborent des anneaux en piercings dans le nez ou les oreilles, quand il ne s'agit pas carrément d'anciennes pièces de monnaie, certains étant numismates.
La plupart utilisent des armes blanches pour se défendre, et plus rarement des armes à feu ; fusil de chasse généralement, jamais de fusils d'assaut. On a déjà vu des gitans remplacer la chevrotine du calibre .12 par des anneaux ou des centimes ; attention donc.
Toutefois, ici, vous trouverez quasiment toutes sortes de vêtements ou d’armes ; mais si vous cherchez un flingue sûr et de bonne qualité, dirigez vous plutôt vers le Gaijin.
Ce quai s’entend correctement avec tous les autres, surtout le quai slave dont ils sont bons clients ; ils aiment bien faire la fête. Au centre du quai se tient un immense chapiteau en dessous duquel sont entreposés des dizaines d’armes, des caisses de munitions jusqu’au plafond. Ils arment la milice du marché contre les pillards et autres attaques de fous inconscients.

Les gitans du quai sont organisé autour de leur chef, Django, et de ses deux seconds, Biréli et Tchavolo. Ils vivent en formant un clan très fermé, et ne se mélange quasiment pas avec les autres membres du Marché, et encore moins les parisiens. Ils travaillent cependant de concert avec de nombreux escorteurs, afin de protéger leurs caravanes durant leurs longs raids de récupération dans les ruines.

Chef du Quai Gitan :
Django est un homme d’une cinquantaine d’années, arborant une petite moustache, et auquel il manque deux doigts ; ils auraient été dévorés par un kzerta quand il était jeune, mais cela ne l’a jamais empêché de faire quoi que ce soit. Ses deux seconds s’occupent de la récupération de vêtements pour Tchavolo, et d’armes pour Biréli. Il est assez souriant, et toujours prêt à sortir sa guitare, même s’il peut être assez protecteur envers son clan. Le quai a bricolé une radio amateur qui lui permet de faire entendre ses talents à tout Paris !


Le Quai Chinois :

Vous avez une saloperie à faire réparer ? Des questions quant à un objet une peu technologique ? Venez au quai chinois. Là-bas, ils ont réussi à détourner une partie de l’ancien réseau électrique de Paris pour alimenter leurs machines, et de jour comme de nuit, l’endroit est plongé dans une perpétuelle lumière artificielle ; guirlandes de Noël, néons publicitaires, projecteurs ; tout est bon. En dessous, des dizaines de machines technologiques, d’ordinateurs d’avant-guerre, ou autre.
Les marchands du quai chinois sont tous typés asiatiques, et la plupart d’entre eux ont les yeux en bouillie à cause de la lumière, des écrans et du travail minutieux, et donc portent d’énormes lunettes.
Si les marchands de ce quai sont généralement stigmatisés par les clients car considérés comme «ces salauds d’asiats à cause de qui on a bouffé des bombes», leur place est prépondérante au sein du marché, puisque c’est eux qui fournissent aussi bien les slaves pour le matériel du purification que les juifs pour les défenses des casiers.
Les chinois du quai sont des gens pleins de ressources. Avec un fusil d’assaut, une autoradio et une paire de lunettes, ils sont capable de vous bricoler une tourelle automatique. D’ailleurs, ils ont vendu un beau paquet de matos aux juifs du Marché, pour défendre les casiers et le reste du marché contre les fréquentes attaques de Psychotiques ou de pillards.
Tout le long du quai, un longue table composée de portes posées à cheval sur des tréteaux supporte une quantité hallucinantes d’ordinateurs, de gadgets en tous genre et de composant électroniques, toujours entourés par une dizaine de petits asiatiques qui travaillent dessus jours et nuit. Des malades je vous dis.

Leur chef est une femme du nom de Meïdin Taïwan ; ce qui est impressionnant est que ce patronyme est écrit sur quasiment tous les objets de ce quai. Coïncidence ? Elle est en permanence accompagnée de deux sumos, sortes de lutteurs débordant de graisse, capable de soulever une brahmine ou encore de broyer un radcaniche entre leurs fesses. Vraiment effrayants.

Chef du Quai Chinois :
Meïdin est une femme typée asiatique, ses longs cheveux noirs coiffés en un chignon planté de morceau de bois. Elle est maquillée nul ne sait comment à la manière des geishas d’autrefois et porte un long kimono violet orné de fleurs indigos. Certains la trouve excentrique, mais d’autres disent que si le quai chinois voulait construire des armures assistées, ils en seraient largement capables. Elle est un peu spéciale, et d’un cale olympien. Il paraît qu’à la dernière attaque des Psychotiques, elle est allé négocier avec eux. Seule. Elle est revenue indemne, mais les mecs étaient repartis aussi.


Le Quai Slave :

Le nerf de la guerre, ce n’est pas l’argent. C’est le pinard. Sans la bibine, les hommes craquent, voient la réalité, le désert, l’inhumanité du monde qui les entoure. Ceci il est un quai qui l’a bien compris.
Le quai slave ; là-bas, vous avez de tout. Liqueurs, spiritueux, eaux-de-vies, vins, enfin bref. Tout. Ils fabriquent tout eux-même à coups d’alambics, de distillation, d’évaporation... D’aucuns disent même qu’ils utilisent de la pisse de brahmine fermentée pour donner plus de punch à leurs mélanges.
C'est également un grand lieu de jeux, où l'on mise pas des anneaux mais de l'alcool ; roulette, tarbote, jeu du couteau, cartes, roulette russe pour les plus courageux... Ou les plus désespérés.
Le plus amusant chez les membres du quai slave, en plus du silence religieux qui y règne, uniquement troublé par un verre brisé de temps en temps, est leurs habits ; toujours de la fourrure, comme s’ils allaient mourir de froid sous le lourd soleil des Terres Désolées.
Les slaves sont un quai assez peu apprécié des autres, mais ils alimentent tout le marché en eau potable. Des deux côté de leurs quais, d’immenses wagons citernes et un système de filtration extrêmement compliqué leur permettent d’avoir de l’eau à volonté. Certains disent qu’ils la puisent dans la Seine avant de la traiter auquel cas je n’aimerais pas avoir à la boire... Toutefois, l’eau pas chère, c’est ici.
Enfin, au fond du quai, il y a un bar. On vend de l’alcool tout le long, mais là vous pouvez consommer. C’est Vigor qui sert ; et je vous préviens, les mecs ivres morts, ils les entasse sur les rails. Bon il y a plus de trains, certes, mais se retrouver dans un tas de pochtrons, c’est jamais agréable.

Leur chef est un homme nommé Vigor, et qui est généralement accompagné par un trio de trois individus dont on ne connait que les initiales : K., G. et B..

Chef du Quai Slave:
Vigor est un colosse chauve, portant une barbe de trois jours et un lourd minigun. Il est toujours vêtu d’orange et les gens sont clairs à son sujet ; Vigor, y’a pas plus fort. Il est surtout le chef car il est celui qui peut avaler le plus d’alcool du quai sans être ivre. Certains l’admirent pour ça, mais tous sont d’accords ; c’est grâce à lui que le quai slave est si calme. Un détail amusant est qu’il passe son temps à manger un sandwich triangulaire, toujours piqué d’une sorte de sphère verte... Il appelle ça une olive. Vigor est un homme bourru, qui parle très fort avec un énorme accent. Il est du genre à vous inviter prendre un verre alors qu’il vous connaît à peine... Mais mieux vaut ne pas être là quand il sort le minigun.


Le Quai Arabe :

Vous avez des armes, des vêtements, de la bibine, du matos technologique. Qu’est-ce que vous manque avant de partir à l’aventure ? Tout le reste, pardi !
Et tout ceci vous le trouverez au quai arabe. Tout le bordel dont vous pourrez jamais avoir besoin, de la boîte de clous à l’ours en peluche, un oreiller ou un stylo, une tétine ou un sextoy, vous trouverez votre bonheur ici. À condition que vous puissiez tenir le vacarme incessant qui règne ici.
C'est également l'un des plus grand magasin de nourriture à ciel ouvert que l'on puisse trouver. L'épicerie géante de Paris en somme ; des radmoutons égorgés et saignés à même les rails jusqu'aux vieilles conserves, il y a de tout pour se remplir la panse.
Pour fournir un marché aussi grand en nourriture, il faut bien des réserves ; de part et d’autre du quai, des wagons à bestiaux sont remplis de radmoutons, qui vivent dans l’obscurité et se nourrissent des carcasses de leurs congénères. Certains pensent que cette viande n’est pas la meilleure des Terres Désolées, mais c’est en tous les cas la moins chère.
Au milieu, sur le quai, un immense souk, où les vendeurs crient à qui mieux mieux, sous des tentes bariolées. L’exact inverse du quai slave, dans lequel il règne un silence de mort, uniquement troublé par les gouttes des alambics et le ronronnement des purificateurs. En plus des radmoutons, on y a vu des radpigeons gros et gras qui ne volaient pas. Toutefois, les radcochons y sont proscrits, même si les marchands du quai juif prennent un malin plaisir à en cacher dans les wagons à radbestiaux, ce qui force les marchands arabes à massacrer toutes les pauvres bêtes.

Leur chef est un certain Abdallah de Bourgogne, qui se réclame d’une ancienne famille noble. Il est accompagné par un tas de marmots braillards, de vieilles femmes ou de vieillards.

Chef du Quai Arabe :
Abdallah de Bourgogne est un homme assez jeune, plutôt bien foutu, avec un visage, une coiffure, des ongles et une barbiche soignés. Le charme s’écroule lorsqu’il vous dit bonjour, au son de «sisi pas mal pas cher, comment ça va bien la famille les amis sisi pas mal ?». Ce personnage original n’en demeure pas moins charismatique et amusant... Mais un peu comploteurs sur les bords. Il est toujours très mielleux, mais est prêt à se plier en quatre pour vous servir dès que vous êtes un peu important...


Le Quai Juif :

Certaines personnes sont très proches de leurs sous. C'est par exemple le cas du quai juif, l'un des derniers quais commerciaux du Marché de la Gare. Des mauvaises langues disent qu'ils ont ça dans le sang, mais ceux qui se font appeler vulgairement "les juifs" sont extrêmement doués en comptabilité, et il n'est pas rare de louer le service de l'un de leurs nombreux comptables pour régler des problèmes de trésorerie dans les organisations du marché.
Ils ont également inventé un système étrange, paraît-il inspiré d'avant-guerre ; la banque. Pour ceux qui ne voient pas, c'est un tas de casiers, et vous payez pour en louer un et mettre vos affaires dedans. Certains ne voient pas l'intérêt, mais si vous passez votre temps sur la route, c'est bien pratique.
Les casiers sont protégés en permanence par des hommes en armures assistées. Enfin armures assistées... technologie Meïdin Taïwan, c’est à dire de récupération. Le quai juif est en perpétuel conflit avec le quai arabe, et ils passent leur temps à se foutre sur la gueule pour des raisons plus ou moins oubliées. Pour ne rien arranger, leurs quais sont côte à côte mais aucun ne veux changer de place, prétextant qu’il était là avant l’autre. Un jour, tout ça finira par dégénérer, et je vous ne voudriez pas être là quand ça pétera.

Leur chef est un homme du nom d'Isaac Samuel, âgé d'environs soixante-dix ans et qui est toujours aux côtés de ses nombreux fils.

Chef du Quai Juif :
Isaac Samuel, du haut de ses soixante-dix ans, est un vieillard aux standards des Terres Désolées. le nez busqué et la barbe, il est quasiment aveugle, et est considéré comme une sorte de patriarche, en permanence accompagné par ses nombreux fils. En vérité, sous une apparente ambiance familiale, une guerre sourde fait rage pour savoir qui héritera de l'affaire de Papa. Sage, il prodigue ses avis à qui les demande. Mais lorsqu’il se met en colère, ce vieillard sait être impressionnant. Ou peut-être est-ce son énorme magnum, qui sait ?


Le Quai d'Emile:

Un vieux train est en gare.
A le voir comme ça on ne se douterais pas que ce train fonctionne encore… vitres brisées, portes inexistantes, parfois même des parois entières de wagon ne sont plus là. A l’intérieur c’est pareil, c’est sale, les banquettes sont trouées et même qu’il faut faire attention où l’on met ses pieds, il a des trous dans le sol…

Ce train c’est celui d’Emile !
Un petit bonhomme, visage aux rides profondes et aux cheveux blancs dont la calvitie a presque fait disparaître entièrement. Sur une chemise rouge à carreaux Emile porte sa fameuse salopette en jean bleu, un chiffon plein d’enduit dans la poche arrière gauche, un vieux chapeau de cheminot d’avant guerre vissé sur la tête.
C’est un petit homme sympathique mais qu’il ne faut pas emmerder. Il se montre aussi très méprisant envers la jeunesse « faignante », celui lui, soit disant que lui a tout vue et tout vécu et que les plus jeunes que lui ne sont que des merdeux qui ne sont jamais sorti de chez eux.
Revenir en haut Aller en bas
Description des lieux
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Description des Lieux
» Description des lieux
» Description des Lieux
» Description des Lieux
» Description des Lieux

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Fallout Rédemption :: Archive du forum :: L'ancien FallRe-