Autrefois dit ville au milles clochers, l’endroit n’en compte aujourd’hui plus beaucoup.
Ici ce n’est pas seulement une bombe nucléaire qui est tombée, mais surtout une bombe bactériologique qui rependit un gaz toxique dans toute l’atmosphère, 75 ans après l’air y est toujours irrespirable.
Les rues de Rouen sont maintenant recouvertes d’un épais brouillard orangée qui empêche bien souvent de voir à plus de 50 mètres. On ne peut pas s’y promener sans masque à gaz ou c’est la mort assurée...
De plus les étranges rugissements rendent l’atmosphère non seulement toxique mais aussi… terrifiante…

Les PNJ importants des lieux :

La chef des liches, Anne Darc, elle contrôle à l’abri. C’est une femme forte au caractère bien trempé.

Les deux maires du village sur pilotis Bill et Liam les conquérants.

L’armée Bleu et l’armée Rouge, deux opposant qui s’affrontent dans les rues de Rouen, à travers le brouillard épais. Personne, pas même les soldats, ne se souviennent pourquoi ils se battent, mais aucun ne veux la paix sans la destruction totale du camps adverse. Ils sont habillé de long manteaux et de casque avec masque à gaz, soit bleu soit rouge, et son équipé généralement de mitraillette, FAMAS ou bien parfois AK-47.

Lieux

Rue en Ruine

Les rues sont entièrement recouvertes d’un gaz vert qui étouffe quiconque le respire.
La ville est partiellement détruite, les façades de presque tous les bâtiments sont tombées, plus une vitre n’est en un seul morceau, il n’y a d’ailleurs plus une seule fenêtre…

Les rues sont aux mains d’étranges [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] portant de grands manteaux et des masques à gaz, armés de fusils et autres armes de morts. On constate deux camps, d’un côté les rouges, de l’autre les bleus qui se livrent un combat à mort dans la ville perdue.
Personne ne connaît les raisons de ce combat, d’ailleurs même les soldats l’on oubliés, ils ne se posent plus la question, l’ennemi doit mourir, un point c’est tout.
Peut être cherchent t’ils à piller la ville de ses nombreuses technologies. Etant dangereuse et « protégée » d’un gaz mortelle, les pillards ont toujours été tenu à l’écart de la ville, laissant ainsi la ville vierge de tous voles, encore aujourd’hui les magasins, hôpitaux, bases militaires, laboratoire, sont rempli d’objets précieux d’avant guerre.
Mais n’espérez pas faire ami ami avec l’un des deux camps, bleu comme rouge les soldats tirent à vue sur les civiles, la plupart du temps.

Les soldats de la guerre oubliée partage la ville avec des monstres inquiétant.
On les entend très souvent, leurs grognement et gémissement traverses toute la ville et quand ils sont assez prêts, leurs pas font trembler la terre.
Ce sont d’immenses monstres de plusieurs mètres de haut, des Atlas comme les appels les habitants.
Mieux vaux ne pas les attaquer si vous en rencontrer un, la fuite reste la meilleur solution…

Village Pilotis

Au milieu de Rouen un village a été construit. C’est un village sur d’immense pilotis qui emmène les habitants au dessus du gaz toxique.
Ici le soleil brille, il n’est pas caché par une épaisse purée…
Solidement ancré dans le béton et les ruines de la ville, le village est un exploit technique d’Hommes d’après guerre, même s’il lui arrive de trembler un peu...

Un interphone se trouve au pied du village, dans les ruines de Rouen, mais sans y être invité il est impossible d’y monter, les habitants sont très méfiants.
Du sol, une petite nacelle de fortune, tirée par une solide corde, emmène jusqu’au sommet. L’électricité pour le faire tourné sont les prisonniers qui, comme des galériens en leur temps, pousse un énorme levier pour faire monter le tout.

Arrivé en haut nous découvrons un joyeux, ou plutôt insouciant, village ensoleillé, rempli de gens vacant à leurs occupations, de maisons de taules et de passerelles de métal.
Assis sur les bords du village se trouve de sorte de pécheurs, plongeant leurs cannes à pèches dans la brume orangée, ils y attrapent parfois d’étranges bestioles volantes dont se nourrie principalement le village.

De chaque côté du village on croise de grosse baliste de fer, avec d’énorme harpon. « Pour éloigner les Atlas qui viendraient un peu trop prêt. »
Hum…

Relié par des passerelles les maisons de taules communiquent parfaitement entre elles.

• Le bar du Mandrak Un traversant une petite passerelle peu rassurante au dessus du brouillard orangée, nous arrivons dans le bar. Un grand bâtiment de taules rouillées sert de zone de défouloir, de repos et de beuveries aux habitants du village. Toujours pleins, toujours bruyant. Comment leur en vouloir, c’est un peu le seul endroit amusant de la ville.
  Plusieurs tables de bois avec leurs tabourets sont parsemées dans l’établissement. Une odeur de cigarette et d’alcool rempli continuellement le lieu.
  Ici, on vend du Mandrak ! En seulement du Mandrak… les ravitaillements se font un peu rare dans les hauteurs…
  C’est un alcool très fort, à base dont ne sais pas trop quoi, ça a tellement mauvais goût que les buveurs ne préfèrent pas demander de toute manière…
  
  Le jour c’est Damien qui s’occupe du service, c’est un bel homme aux cheveux noir, un peu dragueur et volage. Sympathique mais ferme avec les poivros, c’est un excellent barman.
  La nuit, c’est Margueritte qui s’y colle. C’est une femme… ou un homme, à vrai dire on ne sait pas vraiment. Elle a beau avoir des cheveux longs attachés en chignon, du rouge à lèvre et une robe, ses poils au menton et sa grosse voix lève un doute… mais surtout ne dite rien, malheur à celui qui l’appel monsieur !
  Elle ne rie jamais, elle parle toujours de façon agressive. Intransigeante avec les bourrés, elle reste une très bonne amie. Sous ses airs de méchante elle est toujours à l’écoute et est toujours de bon conseil pour celui qui se trouverais égaré ou malheureux.
  
• Le marché des passerelles : Sur les côtés de certaines passerelles nous pouvons trouver des petits étalages de marchands qui vendent diverses choses. Bien souvent ce sont des « » mais on peut aussi y trouver des armes, munitions, médicament…etc
  
• CCI de Rouen : Sur l’une des maisons du village se trouve une grosse enseigne avec inscrit dessus [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
  C’est en fait la guilde de récupérateur, le principal employeur du village. Le premier patron a du trouver sa drôle de mettre cette enseigne trouvée dans les ruines de la ville, peut être pensé t’il que ça ferais plus « sérieux ». Du coup les gens du village appel la guilde comme ça.
  Ici tout le monde peut s’engager, les missions sont simples, descendre dans la brume et affronter les soldats et les monstres pour remonter des objets d’avant guerre au village.
  
• Mairie :[/url] La mairie se trouve dans une petite maison au bout du village.
  C’est assez étroit, n’ayant pas grand chose à faire il est inutile d’accorder beaucoup de place à cet endroit.
  En effet, les habitants ne prêtent guères attention au « pouvoir », les maires, Bill et Liam n’en n’ont pas vraiment, il n’est qu’illusoire. Ils ne sont pas souvent écouté, les habitants font un peu se qu’ils veulent.

L’abri des Liches

L’abri des Liches se situe dans un endroit très secret.
L’histoire raconterait, que dans la hâte de sortir de l’abri, les habitants n’est pas prit la peine de vérifier l’oxygène à l’extérieur. Ainsi lorsque l’abri 45 s’est ouvert, le gaz radioactif s’est engouffrait dans ses couloirs.
Tous les habitants se transformèrent, leur corps se décomposa, leurs cheveux tombés, certain allé jusqu'à perdre des membres. La radioactivité de la brume les avait atteint et ils mourraient à petit feu en se transformant en zombie.
Ils décidèrent de refermer l’abri, et bien qu’ils réussirent à remettre l’air sein ils restèrent à tout jamais des monstres à moitié mort.
Au fils du temps l’abri devint un refuge pour toutes les Liches de Rouen, et bien que très renfermé sur lui même, l’abri s’ouvrait parfois pour communiquer avec l’extérieur.

L’entrée de l’abri 45 se trouverait cachée dans la cave d’un immeuble ou bien dans les égouts de la ville.
L’abri est un abri comme les autres, construit sur le même plan par la fondation Vault-tec France.
Il se compose de 4 niveaux, au 1er se trouve la salle de la porte, au 2ème se trouve les bureaux, au 3ème le quartier d’habitation et au 4ème les générateurs et autres machines de survie.
L’originalité de cet abri tien principalement du fait qu’il est habité par des Liches.
L’odeur pour un humain y est d’ailleurs insupportable, il est même préférable de garder son masque à gaz ici… n’étant jamais ouvert l’odeur de cadavre des Liches y a rempli les couloirs. Où que l’on y aille l’odeur de mort nous accompagne. Toute fois, on dit qu’au bout d’un moment on s’y habitue, ça reste à voir.
De plus il n’est pas rare de croiser un morceau de bras au sol, le médecin de l’abri étant dépassé par les patients qui affluent, voulant tous se faire recoudre un bras…
Semble t’il que le gaz a eu plus d’effets qu’un simple irradiation qu’on puent subir les Goules Parisiennes.

Le Bureau du Superviseur : Depuis maintenant une centaine d’année c’est Anne Darc qui se trouve être la superviseur de l’abri. Son bureau est tout ce qu’il y a de plus simple dans un abri, un bureau arrondi au centre, un fauteuil confortable bien que dépiauté derrière, des armoires métalliques et plusieurs terminales où elle notes scrupuleusement tous les faits des journées qui passent.
Madame Darc y passe presque tout son temps, n’y sortant que rarement pour aller dormir, ne voyant à peine sa fille Mireille.
La clinique : Miguelito Baggiotti est un jeune médecin à l’allure de premier de la classe, enfin été car c’est aujourd’hui une vieille Liche putride. La seule Liche portant des lunettes de l’abri, il est aussi le seul a avoir gardé toutes ses dents. Le Docteur Baggiotti est l’un des plus respecté dans l’abri et son avis compte autant que celui de Madame Darc. Sa clinique, typique d’un abri, se compose d’une assez grande pièce proportionnellement à la taille du reste de l’abri. Il s’y trouve plusieurs lits, des placards d’objets médicaux et un espace réservé aux opérations, toujours occupé par une goule qui se fait recoudre un bras…
Dans le fond de la pièce, une porte menant bureau et à la chambré du Docteur.
L’armurerie : Robert Magritte est une grosse Liche décomposé. Ses plaies diverses et variées suintent continuellement d’un liquide blanchâtre et il n’est pas rare de voir un de ses yeux glissé de ses paupières pour venir rouler sur le sol. Sûrement la plus décomposé des Liches, Robert est aussi celle qui pue le plus… utile pour repousser ceux qui voudraient s’emparer d’arme de guerre.
L’armurerie est un petit endroit, se composant d’un bureau en métal et de plusieurs caisses contenant les précieuses armes. Sous clef, ces conteneurs ne s’ouvrent que rarement.
L’abri n’étant que rarement attaqué Robert et son armurerie n’ont que peu d’intérêt et sont laissés dans un coin de l’abri où ils n’embêtent personne. D’où un manque d’intérêt pour la pauvre Liche qui réclame depuis 1 an qu’on lui change son ampoule qui grésille…